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Le Business Club a testé pour vous: la bulle RelaxOne

Lors de la visite d’une entreprise membre de la CVCI et du Business Club, c’est dans un drôle d’engin qu’ont pris place le mois passé Sophie Pellet, responsable du Business Club de la CVCI, et Laurine Chiarini, sa collègue en charge du service International Link.

L’inventeur et concepteur de la bulle Relax One, Hugo Soder, est bien connu des services de la CVCI, qu’il a rejointe en 1988 déjà: à l’époque, l’ancêtre de la bulle, exposé dans des foires à l’étranger, requérait l’émission de carnets ATA, qui étaient délivrés par le service export. L’élaboration du premier « caisson sensoriel » remonte à 1983. Après des études en psychologies, une constatation s’était imposée à l’inventeur: quand une personne est stressée, c’est parce qu’elle n’a – entre autres – pas assez de repos. Si des solutions telles que le yoga existaient déjà, aucune, en revanche, n’était accessible immédiatement sans requérir de longue pratique. Contrairement aux médicaments, le but de l’invention était de pouvoir agir sur le stress tout de suite, de l’ « éteindre » à la manière d’un interrupteur on / off.

Un autre facteur pris en compte par M. Soder était le temps: en effet, l’utilisateur type à qui était destiné l’ancêtre de la « bulle » était l’homme ou femme d’affaires occupé-e et ne disposant que de peu de temps pour se ressourcer. L’inventeur a dès le début ciblé des personnes pour qui le temps avait une valeur certaine et qui étaient prêts à investir pour ajouter de la qualité à leurs journées. Le premier prototype à avoir vu le jour offrait des séances de 52 minutes, qui équivalaient à une nuit de sommeil complète.

Nos deux testeuses du jour, aux journées également bien remplies, n’ont cependant pas eu à passer chacune 52 minutes dans la bulle pour se détendre. En effet, la Relax One offre, en juste 12 minutes, l’équivalent d’un cycle de sommeil d’une heure et demie. Cette capsule ronde, aux allures de Pacman épuré, promet aux utilisateurs de les emmener « aux portes du rêve, pour découvrir l’état de sommeil paradoxal tout en restant éveillée ». La séance a pour effet de détendre la personne, de « reconstituer ses ressources pour dynamiser ses performances physiques et mentales ». Les jambes confortablement étendues sur un repose-pied rembourré, bien calée en position assise au fond de la capsule, le voyage peut commencer. Le capot est abaissé, laissant seules mes jambes dépasser de la bulle, dans une semi-obscurité reposante. La musique diffusée durant les 12 minutes que dure le cycle émet de basses fréquences « composées spécialement pour induire le sommeil paradoxal ».

Verdict?

Ma collègue comme moi-même avons clairement pu ressentir les effets relaxants de la bulle. Si, au début, la musique me paraissait quelque peu forte et répétitive, très vite, cependant, la notion de temps s’est évaporée pour faire place à une sorte de semi-sieste probablement proche d’un état de pleine conscience puisque tout semblait correspondre à la définition maintes fois lue et entendue: les pensées défilaient devant moi sans que je m’y arrête, sans avoir de prise sur mon esprit. L’exercice a donc été concluant: ainsi, nous ne sommes guère étonnées d’apprendre que certaines entreprises de la place aient décidé de proposer l’utilisation de la bulle à leurs employés.

L’expérience vous tente?

Sachez que si Relax One est principalement utilisée dans des cabinets thérapeutiques, elle est tout à fait adaptée à l’utilisation en entreprise, petite ou grande, pour le bénéfice de l’ensemble des employés. Se fondant parfaitement dans un environnement de bureaux, la bulle, dont un exemplaire est présent au showroom de Design4Office, à Lausanne, peut être vue et testée sur place.

Plus d’informations: www.medirelax.com